CANDIDATS AU POSTE DE CONSEILLER DU DISTRICT 1
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En date du dimanche 15 octobre 2017, date de publication des réponses des candidats, ce candidat n’a pas encore fourni ses réponses.
Comment cela se traduit-il dans votre vie et vos engagements?
N’y a pas répondu
Y a t-il un ou des enjeux qui vous tiennent le plus à coeur et pour lequel vous comptez vous battre pour trouver une solution?
N’y a pas répondu
N’y a pas répondu
○ Comment comptez-vous collaborer avec les villes voisines et le RMT à ce sujet?
○ Que comptez-vous faire localement?
N’y a pas répondu
Assurer la sécurité, l’efficacité, et le confort des déplacements actifs améliore la qualité de vie de tous, des plus jeunes aux plus âgés. Les bénéfices sont multiples : économie d’énergie, pollution, bruit, exercice, convivialité, coût très faible pour la collectivité.
Vous pouvez aussi aller consulter les contributions des citoyens sur jevotevelo.com.
N’y a pas répondu
Le commerce de proximité favorise les déplacements actifs et réduit l’utilisation de la voiture.
Les noyaux commerciaux de proximité sont souvent les seuls accessibles aux jeunes et aux personnes âgées, non motorisées, à mobilité réduite, etc. Leur vitalité est aussi un vecteur d’animation locale et de sentiment de communauté (Tiré de vivreenville.org ).
N’y a pas répondu
N’y a pas répondu
Il faut savoir que presque la totalité des citoyens à qui le Réseau écocitoyen se présente nous demandent, avant de poser toute autre question, pourquoi il n’y a toujours pas de collecte des résidus organiques à Saint-Lambert.
N’y a pas répondu
L’imperméabilisation du territoire par les bâtiments, le réseau routier et les stationnements aggrave l’effet d’îlot de chaleur urbain et augmente le coût des infrastructures, notamment pour la gestion des eaux de pluie. La végétalisation du sol et des toitures est une stratégie efficace et porteuse de nombreux bénéfices (Tiré de vivreenville.org ).
N’y a pas répondu
○ Nous souhaitons en particulier connaître votre opinion sur la culture de légumes en façade, la conversion des aménagements purement ornementaux en plate-bandes comestibles, les poulaillers en ville ou encore l’apiculture urbaine.
L’agriculture urbaine constitue une revendication citoyenne en faveur d’un meilleur accès à une saine alimentation et à des milieux de vie de qualité (Tiré de vivreenville.org ). Elle permet de réduire la quantité de produits chimiques, d’emballage et d’énergie utilisés pour leur culture, leur conservation et leur transport.
N’y a pas répondu
○ Quels devraient être, selon vous, les éléments principaux d’une politique de participation publique innovante et ambitieuse?
○ Comment améliorer le fonctionnement des comités consultatifs?
N’y a pas répondu
○ Comment faire pour s’assurer que l’impact environnemental d’une décision soit évalué au même titre que l’impact économique et social?
○ Comment faire pour que les principes de développement durable soient connus et appliqués par toute l’administration municipale?
○ Comptez-vous doter la ville de cibles chiffrées en terme d’impact environnemental et d’un processus de suivi associé (Exemples : émissions de GES, consommation d’eau, part des surface minéralisées…)?
N’y a pas répondu
○ Quelles sont pour vous les clés d’un urbanisme durable?
De bonnes références en urbanisme durable sont disponibles sur collectivitesviables.org
N’y a pas répondu
Comment cela se traduit-il dans votre vie et vos engagements?
Personnellement, je considère que les changements climatiques sont un des principaux enjeux du XXIe siècle. Il est impératif que notre société change pour réduire au maximum nos émissions de gaz à effet de serre. D’autres enjeux me préoccupent tels que la perte de la biodiversité ainsi que la qualité de l’eau et de l’air. En réponse à ces préoccupations, j’essaie de favoriser au maximum le covoiturage et j’ai grandement diminué ma consommation de viandes. J’essaie aussi de produire le moins de déchets possible.
Y a t-il un ou des enjeux qui vous tiennent le plus à coeur et pour lequel vous comptez vous battre pour trouver une solution?
Une meilleure gestion de nos matières résiduelles est un des enjeux importants. Je souhaite qu’une collecte des matières organiques soit implantée. Je voudrais également favoriser l’agriculture urbaine et maximiser les espaces verts. Il pourrait être intéressant d’aménager des zones d’agriculture urbaine en suivant les principes de la permaculture. En ce sens, j’estime qu’une partie des golfs de Saint-Lambert devrait être transformée en verger permaculturel. Sur ce point, je vous invite à vous informer sur la ferme Miracle Farm de Stefan Sobkowiak à Saint-Anicet. Nous pourrions remplacer une partie des golfs utilisateurs de pesticides qui profitent a peu de citoyens par des parcs qui mettent en valeur l’agriculture urbaine et qui profiteraient à tous. Avoir un golf privé à Saint-Lambert est-elle la manière la plus efficace d’utiliser un espace vert ? Rappelons que le Country Club privé requiert 113 acres de terrains verts ! À titre comparatif, le verger permaculturel de monsieur Sobkowiak ne s’étend que sur 5 acres et nourrit des centaines de personnes qui viennent cueillir elles-mêmes les récoltes chaque année.
Imaginez si nous avions une forêt nourricière à distance de marche de sa résidence… On pourrait également faire participer les écoles primaire et secondaire de la ville afin qu’elles puissent faire leur propre projet d’agriculture urbaine avec les élèves et leurs parents. Cette forêt nourricière permettrait un retour à la terre et faciliterait les échanges entre les citoyens de la ville afin de créer un réel esprit communautaire. Cela deviendrait rapidement une fierté pour les Lambertois !
Victoriaville et Saint-Hyacinthe sont certainement des villes inspirantes. J’aime Victoriaville, car la municipalité adopte des solutions concrètes pleines de bon sens. Prenons en exemples l’implantation de la collecte à trois voies, la distribution de réservoirs de récupération des eaux de pluie, l’inauguration d’un potager urbain et l’acquisition de véhicules électriques pour les travaux publics. C’est une ville qui n’hésite pas lorsqu’il s’agit de développement durable et c’est tout à son honneur ! J’aime aussi Saint-Hyacinthe en raison de son système de biométhanisation. Cette technologie réduit les émissions de gaz à effet de serre et valorise des tonnes de matières organiques par année. Ça, c’est de l’innovation !
○ Comment comptez-vous collaborer avec les villes voisines et le RMT à ce sujet?
○ Que comptez-vous faire localement?
Je crois que le secret réside dans l’écoute des citoyens. Il faut bien évaluer les leurs besoins des et aller de l’avant dans les projets de transports collectifs. Je vais m’assurer de développer des liens avec les villes voisines pour que nous partagions une vision commune axée sur une offre accrue de transport collectif.
Assurer la sécurité, l’efficacité, et le confort des déplacements actifs améliore la qualité de vie de tous, des plus jeunes aux plus âgés. Les bénéfices sont multiples : économie d’énergie, pollution, bruit, exercice, convivialité, coût très faible pour la collectivité.
Vous pouvez aussi aller consulter les contributions des citoyens sur jevotevelo.com.
Il faut certainement contribuer à densifier le centre-ville et augmenter le nombre de pistes cyclables. Il faut savoir qu’augmenter le nombre de stationnements dans le centre-ville n’est pas la solution à la congestion. Il faut encourager et stimuler au maximum le transport à pieds et l’utilisation de la bicyclette comme moyen de transport. Il faut augmenter le nombre de supports à vélos et augmenter le nombre de liens cyclables. Favoriser à même l’hôtel de ville l’utilisation des transports alternatifs pour ses employés serait d’ailleurs une philosophie à valoriser. Il faut montrer l’exemple avant tout !
Je propose également la création de bourses d’études qui seraient remises aux élèves du primaire et du secondaire ayant les meilleures idées pour favoriser les transports alternatifs tels que le vélo, la marche et le transport en commun. Il faut donner une voix aux citoyens et ça commence par les jeunes !
Le commerce de proximité favorise les déplacements actifs et réduit l’utilisation de la voiture.
Les noyaux commerciaux de proximité sont souvent les seuls accessibles aux jeunes et aux personnes âgées, non motorisées, à mobilité réduite, etc. Leur vitalité est aussi un vecteur d’animation locale et de sentiment de communauté (Tiré de vivreenville.org ).
Je crois qu’il pourrait être intéressant d’avoir une navette fonctionnant à l’électricité qui faciliterait les transports collectifs dans la ville de Saint-Lambert. Il serait également intéressant de ne pas tout centraliser dans le Village…
Une collecte à trois voies serait un bon point de départ.
Il faut savoir que presque la totalité des citoyens à qui le Réseau écocitoyen se présente nous demandent, avant de poser toute autre question, pourquoi il n’y a toujours pas de collecte des résidus organiques à Saint-Lambert.
Absolument, c’est vers cela que l’on s’en va de toute façon. Je préfère que Saint-Lambert fasse preuve de leadeurship avec cette collecte plutôt que d’agir en suiveur passif. Je veux faire de ma ville un modèle de développement durable. Je souhaite qu’on parle de Saint-Lambert pour ses projets ambitieux non pas pour ses militants contre le bruit sommes des innovateurs et des précurseurs en matière de développement durable. Nous voulons devenir un leadeur en environnement.
L’imperméabilisation du territoire par les bâtiments, le réseau routier et les stationnements aggrave l’effet d’îlot de chaleur urbain et augmente le coût des infrastructures, notamment pour la gestion des eaux de pluie. La végétalisation du sol et des toitures est une stratégie efficace et porteuse de nombreux bénéfices (Tiré de vivreenville.org ).
La présence d’arbres matures et variés et une des forces de la Ville. Je compte bien m’assurer que cette valeur soit préservée. Dans un monde idéal, je ferais des golfs de Saint-Lambert des espaces publics s’appuyant sur l’agriculture urbaine et sur la présence d’espaces naturels. Pour augmenter la place des végétaux en ville, je propose de distribuer des arbres ou arbustes à des élèves des écoles primaires pour qu’ils les plantent sur le terrain de leurs parents. Cette idée fait une pierre deux coups ; elle permet d’impliquer les enfants et les parents de la ville tout en contribuant à végétaliser notre ville et ce, à faible coût.
○ Nous souhaitons en particulier connaître votre opinion sur la culture de légumes en façade, la conversion des aménagements purement ornementaux en plate-bandes comestibles, les poulaillers en ville ou encore l’apiculture urbaine.
L’agriculture urbaine constitue une revendication citoyenne en faveur d’un meilleur accès à une saine alimentation et à des milieux de vie de qualité (Tiré de vivreenville.org ). Elle permet de réduire la quantité de produits chimiques, d’emballage et d’énergie utilisés pour leur culture, leur conservation et leur transport.
Outre l’idée de convertir les golfs en espaces favorisant l’agriculture urbaine, je suis ouvert à l’idée de remplacer nos aménagements végétaux
ornementaux par des arbres, arbustes et plantes qui produisent des aliments. Nous pourrions lancer un projet pilote pour aménager un secteur de la ville avec des plates-bandes comestibles. Quant aux poulaillers, je ne suis pas fermé à l’idée, mais j’aurais besoin d’un appui clair de la population pour aller de l’avant. Enfin, je suis fortement en faveur de projets apicoles dans la Ville. Imaginez, du miel produit à Saint-Lambert et vendu dans un commerce du coin. Ce serait inspirant !
○ Quels devraient être, selon vous, les éléments principaux d’une politique de participation publique innovante et ambitieuse?
○ Comment améliorer le fonctionnement des comités consultatifs?
J’aimerais créer un système qu’on appelle « empowerment » en anglais et qui permette de redonner une partie du pouvoir décisionnel directement à la population. Pour ce faire, nous pourrions lancer une sorte d’appel d’offres aux citoyens pour financer et faciliter différents projets. Je compte aussi être plus présent sur les réseaux sociaux pour pouvoir échanger facilement avec une population qui est de plus en plus connectée à internet.
○ Comment faire pour s’assurer que l’impact environnemental d’une décision soit évalué au même titre que l’impact économique et social?
○ Comment faire pour que les principes de développement durable soient connus et appliqués par toute l’administration municipale?
○ Comptez-vous doter la ville de cibles chiffrées en terme d’impact environnemental et d’un processus de suivi associé (Exemples : émissions de GES, consommation d’eau, part des surface minéralisées…)?
L’implantation d’un système de gestion environnemental tel qu’ISO 14001 serait envisageable. Nous pourrions obtenir cette certification ou encore nous inspirer de la norme sans pour autant nous plier à toutes leurs exigences. Bref, dans un cas comme dans l’autre, il existe des outils à notre disposition pour s’assurer que l’impact environnemental soit intégré dans nos décisions et que cette gestion soit chiffrée.
○ Quelles sont pour vous les clés d’un urbanisme durable?
De bonnes références en urbanisme durable sont disponibles sur collectivitesviables.org
Bien sûr. La participation citoyenne constitue une plus-value pour l’élaboration des plans d’urbanisme et de développement durable d’autant plus qu’ils sont les principaux intéressés!