La vertue: acheter local, faire le choix de cuisiner des produits, surtout végétaux (peu de viande, pas de viande rouge si possible), frais, de saison et locaux... Le local est ce qui provient de 200 km à la ronde, mais viser 100 km
Selon une étude américaine, ce qui atterrit dans les assiettes contribue jusqu’à 20 % de l’empreinte totale d’une personne
Au Canada, on mange beaucoup de viande rouge, soit 16,65 kg par personne par année. La moyenne mondiale est plutôt de 6,4 kg par personne.
Dans ton assiette, remplace certains aliments provenant des animaux par des protéines d’origine végétale, notamment les légumineuses (haricots, fèves, pois, lentilles, etc.)
N'importe laquelle de ces diètes permettent de réduire considérablement la production de GES liée à son alimentation.
Selon Agence Science Presse, un omnivore qui devient végétarien réduit ses émissions de GES de 800 kilogrammes d'équivalent CO2. Si tous les Québécois qui ne sont pas déjà végés choisissaient de limiter leur consommation de viande et produits laitiers, ils éviteraient la production de 5,8 millions de tonnes d'équivalent CO2 en un an.
Manger local est bien sensé pour réduire son empreinte GES. Mais c'est encore mieux si les producteurs adoptent des méthodes qui respectent l'environnement.
La plupart des chercheurs concluent d'autre part que le fait de manger végétalien a moins d’impact sur le climat que de manger local.