Le transport en commun permet de diminuer le nombre de véhicules sur les routes.Il a un impact direct significatif sur notre emission de GES.
Une étude faite par Golder & Associés à Gatineau indique qu'emprunter l'autobus plutôt que sa voiture permet de retirer l’équivalent de 200 de grammes de GES dans l’air, par jour. Du fait de ne pas contribuer à la congestion routière, cette meme personne permettra d'éviter du même coup l’émission de l’équivalent de 100 autres grammes de GES, par jour(source: Le Droit ).
À défaut, d'utiliser l'autobus, entendez-vous avec vos voisins, vos amis pour faire du co-voiturage.
Le service d'autopartage est aussi présent dans différentes villes. Utilisez ce service et évitez d'avoir plus d'une auto par famille.
Cela vous permet de garder la bonne forme et vous n'émettez aucun gaz à effet de serre. Vous permettez d'en éviter si vous substituez cette forme de déplacement active à l'usage de votre véhicule.
Le trafic routier reste l'un des principaux émetteurs de CO2. Toutefois, tous les véhicules ne polluent pas de la même manière. Avant de faire l'acquisition d'un véhicule, il peut être intéressant de s'informer quant à son impact environnemental.
Il est également possible d'adopter des modes de conduites plus respectueux de l'environnement, ce que l'on appelle l'écoconduite.
Enfin, il est toujours possible de faire le choix de voitures hybrides et électriques qui n'émettent aucun polluant, en tout cas pas aux abords des axes routiers qu'elles empruntent. C'est doublement intéressant ici au Québec où l'électricité est de source hydraulique, l'une des moins polluantes qui puisse exister.
Pour votre information:
A l’échelle mondiale, les déplacements en avion produisent 2.5% des gaz à effet de serre de la planète, mais contribuent au réchauffement de 5%.
Comme vous pourrez le voir dans le tableau ci-dessous, un seul vol transatlantique aller-retour, comme par exemple Montréal-Paris émet près de 2 tonne de CO2, alors que le québécois émet en moyenne 9,6 tonnes de CO2 par an.
|
Avion (vol aller-retour) |
Production (T eqCO₂/Voyageur) |
Distance (km) |
|
Montréal - Toronto |
0,2 |
1 015 |
|
Montreal - vancouver |
1,42 |
7370 |
|
Montréal - Paris |
2,15 |
11 060 |
|
Montréal - New York |
0,21 |
1 075 |
|
Montréal - Havane |
1,014 |
5244 |
|
Montreal Varadero |
1,0 |
5184 |
|
Montréal - Republique dominicaine (punta Cana) |
1,17 |
6070 |
|
Montreal - Mexique (Cancun) |
1,15 |
5945 |
Plusieurs ports ne sont pas équipés de source électrique pour brancher les bateaux de croisière accostés, et plusieurs bateaux de croisières ne sont pas équipés pour se brancher sur un circuit électrique. Ainsi, la plupart des bateaux de croisière, même accostés doivent laisser tourner le moteur en continu, soit une émission continue de GES.
Une revue rapporte que 6 études qui ont examiné la contribution de cette industrie au réchauffement climatique ont conclu que un grand bateau de croisière peut avoir une empreinte environnementale plus élevée que celle de 12 000 voitures. Cette même revue rapporte qu'une étude effectuée en Nouvelle Zélande en 2007 a conclu que les bateaux de croisières sont plus polluants que les avions. Cette information est confirmée par une étude publiée en Croatie qui rajoute les estimations suivantes:
